Politique Galactique


La dure réalité de la planète Terre

Si l’on admet qu’il y a des civilisations extraterrestres ayant envoyé des vaisseaux d’observation dans le système solaire, quelle est leur attitude par rapport à l’humanité ? Laissons de côté les « méchants » qui travaillent avec l’élite mondiale, et tentons de comprendre la politique suivie par les « bienveillants » qui n’ont, de toute façon, rien à attendre de nous.

Les civilisations extraterrestres qui suivent une évolution régulière appliquent mutuellement le principe de non-intervention dans leurs affaires. Il n’y aurait pas de vie possible si le libre arbitre n’était pas respecté de manière générale, sachant qu’il est souvent violé par des races prédatrices, mais toujours à cause de la faiblesse et de la lâcheté des victimes.

Il y a dans notre galaxie des civilisations hautement développées, ayant franchi le seuil technologique sans tomber dans nos dérives, lesquelles ont mené à l’aberration de la fission nucléaire. Ces civilisations connaissent les risques de chaotisation sur les plans subtils de l’usage de l’énergie nucléaire. Il ne s’agit pas seulement de radioactivité matérielle mais d’une pollution corrosive de nature spirituelle.

Inquiètes du développement atomique qui s’est généralisé sur la Terre, certaines civilisations extraterrestres ont envoyé des vaisseaux pour observer cette situation dangereuse pour l’harmonie galactique.



La loi de non-intervention dans la politique des peuples galactiques implique la plus grande neutralité. Chaque civilisation « régulière », non dégradée par l’entropie comme cet accident nommé « chute de l’homme », respecte les lois universelles. Le principe de libre arbitre garantit la liberté de conscience pour tous les êtres, y compris pour les races dont le développement a suivi une ligne négative. Notre race a été mise à l’écart, déportée vers l’extérieur du système galactique à cause des anomalies survenues dans son développement originel. La plus dramatique de ces anomalies est une obstination à s’attacher au plan matériel en refusant de renouer avec la source universelle.

Le peuple terrestre a perdu la mémoire de son origine, et progressivement, il s’est enfoncé dans l’oubli de sa haute extraction jusqu’à se satisfaire d’une vie misérable qui tourne dans le circuit de la souffrance, de la maladie et de la mort. Aucune intervention bienveillante pour sortir notre humanité de son erreur n’a jusqu’à présent abouti. Les grandes intelligences cosmiques dont les mythes de Sumer ont gardé la mémoire à travers les « Elohim » de la Bible, ont bouclé l’espace de notre système solaire pour permettre à l’humanité de continuer à exister sans nuire aux autres systèmes. Sans ces mesures de sécurité, l’entité humaine aurait totalement sombré dans l’inconscience et les ténèbres indifférenciées jusqu’à sa refonte dans la matière primordiale. Incapable d’assimiler harmonieusement ce pouvoir dans l’état d’inconscience où elle était lors de l’intrusion des « esprits-serpents » dans son âme, l’humanité terrestre a développé une science spéculative grossière.

Lorsque l’homme doté de son pouvoir mental embryonnaire s’exalte devant ses propres créations scientifiques, il s’éloigne du but.

Certaines hiérarchies parasitaires l’encouragent dans ce sens pour garantir leurs privilèges. Ces hiérarchies rétrogrades veulent empêcher l’humanité de reprendre le fil d’une évolution positive, car cela signerait la fin de leur empire. La culture terrestre aliénante est fondée sur l’usage négatif de la pensée qui emprisonne l’homme dans ses créations mentales, religieuses ou scientifiques.
Toute la question philosophique se résume à savoir si l’on maîtrise l’appareil mental qui nous fut implanté — prématurément — par les « esprits-lucifériens », lesquels agissaient pour notre émancipation.

Pourquoi les puissances bienveillantes qui ont autorisé l’humanité à vivre dans l’espace galactique extérieur — quoiqu’en quarantaine — n’interviennent-elles pas pour neutraliser les forces parasitaires ? La réponse est double : elles n’interviennent pas, premièrement, parce que le principe de non-intervention interdit de s’immiscer dans l’évolution d’un système planétaire, fût-il perverti. Et deuxièmement, parce que les puissances qui contrôlent actuellement l’humanité pour lui soutirer son énergie en la maintenant en esclavage, sont les gouvernants légitimes de la planète, que cela nous plaise ou non. Le problème est donc insoluble au plan politique galactique, sachant que l’humanité a délibérément généré des gouvernements qui la coiffent en l’entraînant toujours plus avant dans la dégradation.

Ainsi, nous sommes devant la situation politique suivante : les gouvernements des peuples et leurs hiérarchies d’illuminati sont légitimes du point de vue planétaire, car ils émanent de la conscience collective de l’humanité. Il est par conséquent hors de question de contester leur autorité qui s’exerce selon la loi du droit du plus fort. En l’absence de révolte de la part de l’humanité, pourquoi des instances extra planétaires prendraient-elles parti en risquant de rompre le principe de non-intervention ?
Plus gravement, si les gouvernements qui contrôlent l’espace matériel de la planète sont légitimes selon les règles de la diplomatie galactique, il faut savoir que les puissances invisibles qui coiffent les gouvernements visibles sont également légitimes. Cela signifie qu’aux yeux des extraterrestres, le gouvernement du système solaire est représentatif des populations de cet espace tant qu’elles n’émettent pas un avis contraire.

Ceci explique la difficulté d’un règlement politique et spirituel de la question de « chute de l’humanité ». C’est pourquoi, contrairement aux rêves idéalistes, aucun redressement de la situation n’est envisageable.

Le gouvernement représentatif et légitime d’un peuple ne peut en aucun cas être contesté par les civilisations d’autres systèmes.

Fût-il pathologique au plus haut degré, on considère qu’un gouvernement est l’émanation de la volonté collective d’un peuple. Le régime qu’il se donne à lui-même ou qui lui est imposé par un coup d’Etat, est le régime que ce peuple mérite. Même si une opposition tente de le renverser, ce régime est légitime dès qu’il est constitué. Si cette opposition parvient à supplanter le régime en place, elle devient représentative de la nation dès qu’elle a installé son gouvernement, quel qu’il soit.

Le conseil des ministres d’un gouvernement en place, cristallise sur lui l’égrégore national, quelle que soit sa tendance idéologique. Dès l’instant qu’un gouvernement tient le « glaive de la loi et de la justice », il est légitime, fût-il la source d’un mécontentement qui frôle la révolution. L’autorité du pouvoir en place est fondée sur la liaison immédiate qui s’opère entre l’égrégore du peuple et le gouvernement qui le coiffe, pour le meilleur et pour le pire. Cette autorité, par le relais du système de délégation ministérielle, est en charge du pouvoir de diriger la nation. Il s’agit d’une légitimité de fait, incontestable, puisqu’une administration fonctionne et assure les besoins de la nation et sa sécurité.
L’égrégore du peuple se laisse capter par le pouvoir dominant qui assumera la responsabilité de le guider. L’opposition peut bien tenter de reprendre les choses en mains, mais tant qu’elle n’est pas au pouvoir, elle n’est pas représentative de l’égrégore national.

Il est utile de rappeler ces évidences politiques pour ne pas s’égarer dans des espoirs fumeux. On a bien le droit d’être un opposant de droite ou de gauche, mais cela ne change rien à la légitimité d’un conseil des ministres coordonnant les corps administratifs qui sont les organes de la nation. Quel que soit le régime, dès que le conseil des ministres est réuni, il est vraiment l’autorité légitime du collectif national. Il en assume la charge spirituelle car l’égrégore « astral » de la nation se fixe sur lui. L’égrégore national y trouve son ancrage. Ceux qui ne peuvent se représenter la politique sous son aspect magique risquent de ressentir l’autorité d’un gouvernement honni comme insupportable.

Les gouvernements terrestres, même idéologiquement opposés se reconnaissent mutuellement, sauf pour les besoins de la propagande. C’est le réalisme politique.


LE GOUVERNEMENT MONDIAL
Les « anges » des collectifs nationaux se sont beaucoup combattus. Aujourd’hui, la loi du plus fort s’exerce à travers une unification artificielle des nations, ce qui n’est qu’un moyen pour des puissances politiques supérieures de régenter l’empire terrestre. Ces puissances estiment qu’un danger extérieur les menace. C’est pourquoi, elles tentent de constituer un gouvernement mondial unifié en nivelant les spécificités nationales.

Le consensus génère de fait un gouvernement mondial qui peut revendiquer sa légitimité aux yeux de la confédération galactique.

Ce fait est ressenti douloureusement par les idéalistes : les instances extraterrestres ne traitent qu’avec l’autorité politique légitime. On aimerait beaucoup qu’une puissance extraterrestre bienveillante débarque et court-circuite les gouvernements, et particulièrement l’autorité impériale du nouvel ordre mondial. Cela est irréaliste et impossible.

Exemple de l’Europe. Pour artificielle que l’unité européenne apparaisse, dès qu’un conseil européen aura élu un président des Etats-Unis d’Europe, la situation politique sera irréversible. Les égrégores nationaux des pays constituant l’Europe seront alors coiffés d’une sorte de tiare impériale — au plan spirituel.

Le gouvernement européen, dûment administré par un conseil des ministres contrôlant les régions de l’Empire — les anciennes nations — deviendra de fait l’interlocuteur des puissances extraterrestres, dans la mesure où elles voudront entretenir des relations diplomatiques.

Autant dire que face au conseil intergalactique, ce sont de puissants personnages comme les Rothschild et consorts qui sont représentatifs !

Nous savons que des relations existent entre le gouvernement américain et des puissances extraterrestres. C’est donc une règle à laquelle il faut se résoudre si l’on ne veut pas imaginer des contacts illusoires avec de « bons » extraterrestres. Des individus isolés peuvent recevoir des informations télépathiques en provenance de races extraterrestres, mais seuls des gouvernements légitimes seront appelés à traiter pour décider de l’avenir.

C’est un constat douloureux, car il suppose qu’un certain nombre d’êtres humains seront frustrés par la loi de la diplomatie.

Ces règles, tortueuses à nos yeux, nous rappellent que l’individu ou les groupes minoritaires ne comptent pas en politique. Seuls les gouvernements en place sont reconnus par les puissances extraterrestres.

Ceci nous permet de mieux comprendre la politique inter-galactique en relation avec le sort de la planète Terre. En réalité, dire qu’on peut comprendre est exagéré, car personne n’y comprend quelque chose. On peut même affirmer que personne ne cherche à comprendre, n’est-ce pas ? L’indifférence des humains pour la haute politique est regrettable, et leur est fatale depuis toujours. Tant que l’humanité était gouvernée par des états indépendants dont la seule préoccupation était de ne pas se laisser envahir par leurs voisins, les choses étaient plus simples. Mais nous voilà projetés dans la diplomatie inter galactique depuis que nos expériences nucléaires et notre organisation mondiale centralisée ont transformé la Terre en une puissance prédatrice dangereuse pour les autres systèmes. Des vaisseaux sont alors venus observer la situation, bien plus nombreux que par le passé. Comme dans tout scénario, parmi ces vaisseaux extraterrestres, on distingue trois groupes de visiteurs : les bons, les neutres et les mauvais.

Ne soyons pas faussement scandalisés d’apprendre que ces trois catégories sont officiellement représentées dans la confédération inter-galactique. Sur la Terre aussi, les Etats idéologiquement opposés, se rencontrent pour discuter et commercer. Les exemples sont nombreux. Tout le monde est sur la même galère, et l’on ne peut pas jeter une nation à la mer sous prétexte que son gouvernement se conduit mal. Il est donc probable que les extraterrestres bienveillants à notre égard entretiennent des relations diplomatiques avec des groupes qui nous considèrent comme du simple bétail. Leur mépris n’est d’ailleurs pas injustifié si l’on considère notre apathie et notre ignorance.

Les nations de l’univers traitent de leurs problèmes collectifs par voie diplomatique, dont les règles sont obscures pour les non-initiés. Tout est politique dans l’univers, depuis les faits dissimulés sous les mythes comme la « rébellion de Lucifer », jusqu’à l’« incarnation du Christ » qui sont devenus les deux « farces » de la sainte médaille. Tout cela se discute interminablement dans notre dos au fil des millénaires. A propos de religion, on peut se demander si la phraséologie théologique en langue de bois qui est mise en avant par les organisations religieuses, ne dissimule pas un code diplomatique ?
Dans les mythologies terrestres, l’opposition éternelle entre le bien et le mal exprime une réalité politique. Mais il reste à savoir si les valeurs apparentes du bien et du mal n’ont pas été inversées par la propagande théologique.

Par exemple, la dualité Christ-Lucifer (Dieu-Diable) nous réserve des surprises lorsqu’on voit l’usage qui est fait de ces noms par nos autorités politiques et religieuses. Un politicien comme Bush — adepte de la confrérie « Skulls & Bones » — qui invoque le Christ avant de partir en guerre contre le « mal », nous montre clairement que l’usage du « nom de Dieu » ou du Christ est un prétexte macabre, un code diplomatique exprimant au contraire une inversion des valeurs. Quant à eux, les satanistes affirmés ont au moins le mérite de la franchise, ce qui est loin d’être le fait de nos bêleurs religieux de toutes confessions !

Tout serait-il politique dans l’univers visible et invisible ? Sans aucun doute, y compris la «  chute » et la « rédemption ». De ces événements magistraux découlent les embrouilles inextricables de l’histoire : mensonge sur mensonge du début à la fin.


2EME PARTIE
Nous avons montré que l’empire mondial est désormais représentatif de l’espèce humaine aux yeux des puissances extraterrestres tout comme des hiérarchies invisibles. Il faut tirer la leçon de cette situation. Cela veut dire que nos autorités internationales — qu’on appelle illuminati par commodité depuis la révolution française — détiennent les clés de notre avenir, au plan matériel (et peut-être plus encore), et qu’en raison de la règle de non-intervention, nous, qui aurions beaucoup à objecter sur la direction prise par le gouvernement planétaire, nous ne comptons pour rien.

Aucune instance extra planétaire, visible ou invisible, ne traite avec des individus isolés, mais seulement avec les Etats.

A titre individuel, on peut se croire missionné par une instance « supérieure », mais au final, que représentons-nous ?

Cette situation pourrait paraître désespérée à ceux qui rêvent d’une autre vie. Les instances galactiques sont-elles donc insensibles au fait que l’humanité est maintenue dans l’ignorance de son origine et de sa destination ultime ? Il faut admettre que notre sort ne préoccupe pas grand monde dans la galaxie.
Va-t-on laisser nos chefs « légitimes » tout détruire pour installer leur « meilleur des mondes » ? Oui, on les laissera faire. Nulle puissance ne s’y opposera puisque nous ne nous y opposons pas nous-mêmes. On va donc les laisser faire tant que l’humanité n’exprime pas un autre souhait !

Puisque le soleil brille pour les bons et les méchants, le conseil inter-galactique regroupe sans distinction des races disparates qui ne se saluent que de loin. Imaginons quelques centaines de peuples dont certains ont dès le début suivi une ligne d’évolution régulière sans passer par la case « chute et rédemption ». Et imaginons-en d’autres, bizarres et effrayants, constitués d’entités génétiques en bout de course, prêtes à tout pour assurer leur survie. L’imagerie ufologique est pleine de méchants « gris » et de « reptiliens d’Orion », ou au contraire d’andromédiens débonnaires et jupitériens. Les projections mentales sont fréquentes, sans compter les arnaques…

Puisque ces groupes extraterrestres ne daignent pas se faire connaître publiquement, ce qui serait une violation du principe de non-intervention, il ne faut pas s’attendre à ce qu’ils grimpent sur des tribunes dans leurs uniformes de la « grande flotte des Pléiades » ou bien en combinaison de lézard !

Qu’on se le dise, il n’y a pas de débarquement extraterrestre, mais seulement des contacts diplomatiques avec nos autorités sans que nous en soyons informés. L’autorité ne traite qu’avec l’autorité légitime.
Les puissances extraterrestres régulières n’ont aucune raison d’ouvrir des échanges avec nos cultures primitives. Cela ne servirait qu’à nous perturber encore plus, et mettre en danger notre libre arbitre, car nous ne manquerions pas de nous mettre à genoux comme à notre habitude pour adorer ces « grands êtres ».

Le fossé est trop large. Seule, notre arrogance scientiste nous donne une image évoluée de notre civilisation. Or, pour les races extra planétaires, nous ne sommes rien d’autre qu’une espèce dégénérée, nécessitant de constantes interventions « divines » pour l’empêcher de tomber plus bas.

Si des vaisseaux nous observent avec intérêt, c’est à cause de notre délinquance et non pour nos « grandes réalisations ». La science des extraterrestres bienveillants est en harmonie avec les lois universelles. Ils n’ont jamais songé à fissurer l’atome, car ils sont dotés d’une conscience morale qui évalue les paramètres de l’ordre universel avant d’agir.

Ils ne tirent pas leur énergie de la combustion de grossières substances chimiques.

Leur science n’est pas violente, et ces civilisations ont passé avec succès le cap de la mise à l’épreuve de leur puissance. Leur subsistance ne dépend pas de la capture d’autres espèces vivantes et de leur massacre. Ils connaissent l’usage de l’énergie universelle. Leurs vaisseaux ne fonctionnent pas avec du carburant ou des piles, mais ils connaissent les circuits magnétiques attractifs et répulsifs qui relient les planètes et les systèmes de l’univers. Ils s’introduisent dans l’atmosphère terrestre par la « porte des dieux », le pôle Nord, et s’en échappent par le pôle Sud où s’évacuent les courants magnétiques.

Leur morale, leur philosophie, leur religion et par conséquent leur politique, sont en harmonie avec leur haut niveau de conscience, laquelle est connectée sur la source universelle. Ils n’ont donc pas besoin de hiérarchies sacerdotales ni d’un référentiel mythique ou religieux. Essayons d’imaginer ce que serait une humanité qui n’aurait pas connu l’accident originel qui fit exploser notre système spirituel individuel. Pas de perturbation violente, pas d’oubli de notre origine, ni de nécessité de « réparation », et aucun besoin de s’enliser dans la matérialité dense. Pas de ruse destructrice, cette arme qui fait de l’homme un monstre et un danger pour lui-même.

Une humanité vivant dans une conscience multidimensionnelle, utilisant des corps énergétiques renouvelables, et capable de naviguer dans les dimensions de l’univers !


LA DEPOLLUTION ATMOSPHERIQUE
Quel genre de travail ces visiteurs bienveillants – nous ne parlons pas des prédateurs – accomplissent-ils dans notre atmosphère ? Leur souci essentiel est de ligaturer certaines brèches énergétiques et de réparer des circuits magnétiques endommagés par l’activité humaine.

En effet, notre activité « consciente » est de l’ordre de l’inconscience pure, parce qu’elle ignore les lois de l’écologie universelle.

Comment une humanité qui ne prend conscience de la pollution que lorsqu’elle est au bord de la suffocation, pourrait concevoir la pollution spirituelle qu’elle génère par ses pensées et ses pulsions émotionnelles ?

C’est pourquoi, nous avons été relégués ici pour la sécurité des autres systèmes. Mais, nos pollutions psychiques, magnétiques et atomiques commencent à déborder sur d’autres dimensions, troublant la sécurité d’autres races galactiques.

Les plus évolués parmi nos spécialistes de l’environnement sont encore loin de reconnaître l’action polluante des émotions et des pensées ! Ils auraient du mal à admettre que depuis de nombreux millénaires, notre activité psychique collective s’est accumulée aux deux pôles du bien et du mal, constituant ainsi deux bombes à retardement. Car notre « bien » chargé d’illusion est une pollution pour les sphères supérieures. C’est sans doute le point le plus difficile à admettre pour les adeptes du New Age si pleins des « bonnes intentions » dont l’enfer est pavé.

Ils veulent un « monde meilleur », mais ils ne connaissent pas le Bien véritable. Or, si l’on pousse la dynamique du bien relatif d’un côté, on renforce d’autant le pôle négatif. Les esprits humains les plus intelligents ne peuvent pas concevoir ces choses, car ils sont identifiés à la bonté humaniste superficielle, laquelle n’est à l’origine qu’une réaction face à la peur.

Le Bien véritable et l’Amour réel sont au-delà du bien et du mal. Ainsi, la peur et le désir se sont accumulés autour de la planète, générant au fil du temps des formes de vie parasitaires matérialisées — insectes, virus — et nourrissant des entités anormales de l’astral, ainsi que des désincarnés, hâtivement considérés comme des créatures spirituelles – anges et êtres de lumière – mais qui ne sont que des parasites ayant l’avantage de l’invisibilité. Cette situation est indescriptible et l’on s’étonne que nos « voyageurs de l’astral » et autres channels n’en donnent pas plus de détails. Sans doute, leurs explorations dans l’invisible sont semblables à ces touristes qui contemplent un lac pollué depuis le rivage en s’émerveillant sur la jolie couleur turquoise de l’eau. Or, ils s’extasient devant un cloaque radio-actif !

La pollution de la Terre et de son atmosphère dépasse de très loin les observations des écologistes les plus alarmistes.

Cette contamination invisible de nature psychique est restée cachée au cours des temps, mais elle est en train d’apparaître, générant des maladies inconnues.

Ceux qui ont adopté un comportement entièrement nouveau par rapport à la vie sont sans doute immunisés, car il s’agit d’une pollution qui répand des germes spirituels — de la vermine psychique qui retombe sur ceux qui l’ont générée. La créature revient toujours vers son créateur. Ce processus « apocalyptique » va prendre une ampleur considérable, non maîtrisable malgré la propagande médicale. Dans ces conditions d’alerte maximale, et alors que l’humanité s’enfonce toujours plus dans l’apathie et la narcose de ses divertissements médiatiques, certains extraterrestres bienveillants ont pris position dans l’atmosphère et œuvrent en secret pour limiter les dégâts. Ils agissent ainsi pour autant que la règle de non-intervention l’autorise, donc rien de spectaculaire selon notre point de vue.

C’est pour eux une mesure d’auto-défense et de protection de leur espace qui pourrait être atteint par nos poisons psychiques et magnétiques. Quel scientiste pourrait le comprendre ? Quel politicien borné et corrompu pourrait en avoir conscience ? Quel humain courbé sur sa survie à court terme se soucie de ces problèmes au point d’agir ? Quel humaniste ivre de son rêve de progrès peut reconnaître son absolue ignorance ?

Seule une minorité en est consciente et en souffre, quoiqu’elle soit encore plongée dans l’ignorance des mystères de la vie.

Cette minorité de conscience n’a pas droit à la parole. On se moque de ses intuitions et elle supporte avec une douloureuse patience les outrages de la civilisation moderne. A travers l’épreuve de l’existence actuelle, cette minorité s’éveille à la réalité du monde et à la fausseté des apparences trompeuses. Elle s’approche doucement de la limite où elle devra abandonner ses illusions anciennes pour faire face à un nouveau jour.

A ce point de notre réflexion, n’allons pas commencer un sermon politicien car la solution ne repose que sur l’individu et sur sa capacité d’affirmer sa force de caractère.
La solution est individuelle, et qu’on aille à droite, à gauche ou au milieu, le meilleur chemin est toujours celui que nous voulons suivre sans qu’on nous oblige à aller dans une autre direction. Le chemin de la vérité, c’est celui de notre désir essentiel.

La politique galactique et le choix individuel ne sont pas éloignés. Fais ce que tu dois faire comme tu le sens, et si la vie ne te plaît pas, n’en dégoûte pas les autres. C’est la règle partout. Chacun doit vivre selon sa vérité. C’est la règle dans tous les univers, et c’est aussi la règle dans notre coin mal famé de la banlieue galactique.

Source :Auteur: Joël Labruyère | Lien: http://www.crom.be/fr/documents/politique-galactique-1

Commentaires