L’Affaire Dreyfus : Une attaque sous faux drapeau


L’Affaire Dreyfus (1894-1906) a traumatisé et transformé la France, tout comme l’affaire Charlie Hebdo aujourd’hui. Rothschild s’est arrangé pour qu’un Juif innocent, le Capitaine Dreyfus, soit accusé d’espionnage afin de créer de l’antisémitisme et que les Juifs soient forcés d’émigrer en Israël. Plus tard, Dreyfus fut vengé et la France patriotique discréditée, lorsque le véritable espion, un agent de Rothschild, passa aux aveux.

Tous les livres d’histoire raconte en terme de moralité confortable où l’accusation contre un Juif innocent est vengée… Edmond de Rothschild (1845-1934) fut l’homme qui a financé la colonisation Sioniste de la Palestine. Tout comme l’attentat sous faux drapeau de Charlie Hebdo, l’Affaire Dreyfus fit croire aux Juifs qu’ils devaient avoir un pays rien qu’à eux…

En 1894, un capitaine d’artillerie français, Alfred Dreyfus, fut faussement accusé d’avoir transmis des secrets aux Allemands. Dreyfus, un Juif, semblait confirmer la croyance que les juifs, dirigés par le baron Edmond de Rothschild, constituaient une cinquième colonne et minaient l’indépendance et la culture française.

Dreyfus fut publiquement dépouillé de son grade et condamné à l’emprisonnement à vie à l’île du Diable où il lui fut mis les fers aux pieds. Tout au long de son procès et son emprisonnement, Dreyfus proféra son innocence.

L’affaire Dreyfus est une manipulation complexe ayant pour but de discréditer les opposants à Rothschild. Le véritable espion, Ferdinand Esterhazy, était en réalité à la solde du baron Edmond de Rothschild.

Ils ont délibérément mis en cause Dreyfus de sorte que lorsqu’il fut finalement disculpé, les forces conservatrices et nationalistes furent humiliées et discréditées.

En 1895, la vérité fut divulguée à Georges Picquart le Chef des nouveaux services de renseignement. L’espion était en fait Esterhazy, qui n’était pas un Juif. Néanmoins l’armée s’incrimina elle-même plus loin. Son prestige étant en jeu, elle enterra la nouvelle information et forgea de nouvelles preuves contre Dreyfus. Picquart fut exilé à un poste éloigné.

L’armée était un bastion de fierté nationale. L’antisémitisme, c’est à dire la résistance à la domination juive, y prospérait. Il y avait un fort préjugé contre Dreyfus. Rothschild s’en servi pour se jouer d’eux.

Pendant dix ans, la France fut déstabilisée tandis que les nationalistes (l’armée, les propriétaires fonciers et l’église) affrontaient la famille Dreyfus, les Libéraux et les Socialistes réclamant justice. Le Gouvernement tomba, des émeutiers antisémites parcouraient les rues, des duels avaient lieu, et le monde entier regardait tout cela avec une certaine consternation.

Emile Zola, un protégé de Rothschild et un Franc-maçon, a écrit le fameux «J’accuse» exposant le camouflage de l’armée. Des célébrités signaient des pétitions réclamant justice pour le capitaine d’artillerie juif innocent.


Finalement, Esterhazy fut congédié, s’échappa en Angleterre et, en 1899, avoua qu’il était bien l’espion. Néanmoins, le gouvernement et l’armée elle-même creusèrent un trou encore plus profond, en ignorant l’évidence et poursuivant en justice les défenseurs de Dreyfus.»
Finalement, le gouvernement changea et après de nombreux procès et appels, la réalité partielle fut finalement reconnue.

Dreyfus fut disculpé en 1906 et fait « Chevalier de la Légion d’honneur » dans la même cour où il avait été disgracié. Le patriotisme Français et le Catholicisme furent discrédités. Tous les livres d’histoire rapportent un conte moral réconfortant où le Juif innocent est finalement disculpé. Dreyfus était innocent, mais Rothschild ne l’était certainement pas.



QUELLES SONT LES PROBABILITÉS ?

L’homme coupable de la trahison imputée à Dreyfus, le major Ferdinand Esterhazy, était un camarade de classe du baron Edmond de Rothschild, et était devenu son agent à vie.
En juillet 1894, Esterhazy, le traducteur de l’état-major général français, avait approché l’attaché militaire allemand à Paris, Von Schwartzkoppen, en disant que la contrainte financière l’obligeait à vendre des secrets militaires.

En fait, Esterhazy venait de recevoir une grosse somme d’Edmond de Rothschild en Juin 1894. Ce n’était que l’un des nombreux paiements qu’il devait recevoir de la part de son maitre. (Herbert Lottman, «Les Rothschild Français La Grande Dynastie Bancaire à Travers Deux Siècles de Turbulence», 1995, pp. 115-117)



Il existe de nombreuses autres indications que l’ensemble de « l’Affaire Dreyfus » a été orchestré. Au début, les nouvelles de la culpabilité du capitaine Dreyfus furent divulguées par le journal antisémite La Libre Parole. L’éditeur, Edouard Drumont, avait mordu à l’hameçon et commença une campagne au vitriol contre l’officier juif. En fait, Esterhazy était aussi un ami de Drumont.

Il est possible que Drumont ait également été financé par les Rothschild. Les Protocoles des Sages de Sion reconnaissent le financement des publications antisémites. Il dit aussi que l’antisémitisme est utile au contrôle de «nos frères inférieurs.»

Cela peut expliquer pourquoi les antisémites blâment tous les Juifs au lieu de se concentrer sur les Rothschild et leurs confrères Sabbatéens/Maçonniques. De même, les socialistes ne mentionnent jamais les Rothschild lors de leurs attaques contre le capitalisme.

En janvier 1898, Emile Zola publia son « J’accuse » dans le journal L’Aurore édité par le Franc-maçon et futur Premier ministre Georges Clemenceau.

Zola fut accusé de diffamation et condamné à un an de prison et une amende de 3 000 francs. En 1902, Zola est mort « accidentellement » dans sa maison, empoisonné par du monoxyde de carbone. Avait-il appris quelque chose qu’il ne devait pas savoir?

Des décennies après «l’accident» de Zola un couvreur de Paris avoua sur son lit de mort avoir procédé volontairement à la fermeture de la grippe sur la cheminée de Zola. Le couvreur déclara qu’il l’avait fait pour des «raisons politiques». (Frederick Brown, « Zola : Une Vie »)




Dans les Protocoles des Sages de Sion, l’auteur se réfère à leur capacité de faire passer les meurtres des Francs-maçons qui deviennent un obstacle, comme parfaitement naturels. (Protocole 15)
Le 16 février 1899, le Président de la République, Félix Faure, décéda subitement dans son bureau. Il venait de rencontrer un défenseur de la cause de Dreyfus et avait argumenté sur le sujet. Il y eut des soupçons d’empoisonnement. Faure fut remplacé par Emile Loubet, un partisan de Dreyfus. La presse de Rothschild concocta une histoire décrétant que Faure était mort tout en ayant des rapports sexuels, et cela est répété dans Wikipédia.

L’IMPORTANCE DE L’AFFAIRE

Edmond de Rothschild (1845-1934) était l’homme qui a financé la colonisation Sioniste de la Palestine. Comme l’Holocauste, l’affaire Dreyfus disait aux Juifs assimilés qu’ils ne seraient jamais acceptés et devaient avoir leur propre pays. Cela a motivé le journaliste Juif-Hongrois Théodore Herzl, le fondateur du Sionisme.



(Edmond de Rothschild)
Selon Wikipédia, «l’antisémitisme et l’injustice révélé en France par la condamnation d’Alfred Dreyfus a eu un effet sur la radicalisation de Herzl, lui démontrant que les Juifs, en dépit de l’assimilation juive et des Lumières, ne pourraient jamais espérer un traitement équitable dans la société européenne.»

C’est un autre exemple de la façon dont les Rothschild incitent secrètement l’antisémitisme afin de duper les Juifs dans l’avancement de leur plan diabolique d’un gouvernement mondial. Le même principe a guidé l’Holocauste juif, où des millions de Juifs innocents ont été sacrifiés.

Le parrainage d’Hitler était seulement quelques niveaux au-dessus de la duplicité du parrainage d’Esterhazy. Dans les deux cas, les «antisémites» sont tombés dans le piège.

Ainsi, les juifs qui veulent s’assimiler agissent comme des agents et des boucliers humains pour l’ordre du jour satanique des Rothschild. Les mêmes Juifs seront bien sûr blâmés.

CONCLUSION

L’affaire Dreyfus est un autre exemple de la façon dont les événements historiques sont fabriqués par les Rothschild. En regardant en arrière, nous avons : le 11/09 ; l’assassinat de Kennedy, la guerre froide ; la guerre du Vietnam ; la guerre de Corée ; Hiroshima ; la Seconde Guerre mondiale, l’Holocauste juif ; Pearl Harbour et ainsi de suite…

Évidemment, les médias de masse contrôlés par Rothschild les aident à colporter leurs subterfuges. Un autre exemple de leur duplicité est le coup d’état bidon des banquiers en 1933, qui fut utilisé pour donner à leur pion F.D.R. quelque crédibilité. (Voir mon ouvrage « Illuminati ») Les mouvements sociaux et les idéologies sont également parvenus à faire progresser le Nouvel Ordre Mondial : la libération sexuelle, la libération des femmes, le mouvement des droits civiques, les droits des homosexuels, le féminisme, la diversité, le multiculturalisme.

Nous pouvons en tirer la leçon aujourd’hui en considérant comment les événements actuels avancent l’objectif d’un Gouvernement Mondial.

(Je suis redevable à Carol White, «The New Dark Ages Conspiracy» (1980) pp. 45-48 pour avoir porté à mon attention la connexion entre Rothschild et Esterhazy.)

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